mardi 24 avril 2007

Hommage à un vieux contact et au printemps frisquet

Perdu dans les songes et les illuminations malsaines, j’avais oublié à quel point les effluves printanières pourraient apaiser mes maux. Les rayons du Dieu Rê, transperçant les brumes de ma demeure acariâtre, m’atteignirent et réveillèrent en moi des désirs alors essoufflés. Je me dis, dans un coup de sang révolver : « Terminées sont les temps de disette, envolées les songes d’anachorète! ». Les draperies de la fenêtre virilement arrachées, me dévoilèrent en poussière une vision d’horreur. Horrifié, je fus Candide devant l’âge, le monde noyé de laideur, noyé sous une Propontide grisâtre qu’éclairait sans conviction le soleil du printemps.

10 commentaires:

Ian a dit...

nah en fait le but c'étais surtout de plugger « anachorète »...

Anonyme a dit...

ouain c'était clair ;-)

+ +

je comprends pourquoi on se parle pu!

;-)

xx

Ian a dit...

En passant - http://basduck.blogspot.com/2007/04/de-la-discipline-et-de-lhonneur.html - j'ai vraiment apprécié le fait que, visiblement, tu n'ai pas lu la moindre entrée mais que tu en ai inventée une avec ton histoire de crimes ou je sais pas quoi pour augmenter ta cote perso. J'espère que tu t'es bien branlé après. Non, sérieusement, que tu dèches bien m'importe beaucoup.

Anonyme a dit...

basduck devrait se calmer le propos...

Depuis quand est-ce que la critique littéraire doit être motivée par des raisons personnelles ?

Come on.
J'en ai soupé des enfantillages

Anonyme a dit...

Rémy, t'as toujours le don de me faire sentir comme une sous-merde; c'est un truc que j'admire chez toi.

+ +

t'as pas rapport. je t'ai insulté parce que je pensais que tu lisais pu mon blogue et, de toute façon, personne lis le tien.

en tout cas, aucun de mes lecteurs connus.

de toute façon, je tenais un discours sur la fiction. j'ai le droit de faire ce que je veux.

désolé si ça t'a blessé ;-).

Xxxx

+ +

zop3 : de quoi tu parles?

d'accord pour dire que je devrais me calmer le propos, le clin d'oeil à rémy c'était que par goût du jeu. d'ailleurs, j'aurai été servi.


si tu veux une réponse à ta question : depuis toujours. le critique est, d'abord et avant tout, un lecteur. les années 60 avec Starobinski lui auront donné une place dans le discours universitaire alors qu'à l'UQAM on l'étudie.

ça parle pas vraiment de ses motivations mais c'est beaucoup plus intéressant ;-)

Ian a dit...

Ha oui c'est vrai... ceci est un blog [c'est sur blogspot]. Je suis content de ne pas être lu par tes lecteurs débiles en fait. Gardes les chez toi et les cochons seront bien gardés (j'ai déjà entendu ça quelque part...). Je ne suis lu par personne en fait (sauf zop3 que je soupçonne être « ion » déguisé) t'as bien raison. Et tu avais raison sur le fait que je ne fréquente plus ton blog depuis un bout de temps (bien avant que je cesse de te fréquenter toi), je n'aime cependant pas qu'on y parle de moi (bouhouhou!), je sais pas ça me met mal à l'aise, pour tes lecteurs débiles je veux dire...

D'ailleurs, tant qu'on rigole:
Je trouve très marrant ta façon d'être baveux, je veux dire dans la technique clichée qui se croit...

Bon je suis aussi pire que toi, je n'hésiterais pas un instant à parler de tes mamelons disproportionnés pour ramasser un peu de sympathie et quelques rires de la part de mes complices déjà de mon côté. Nah, je rigole. Je fais dans le discours sur la fiction moi aussi...

Anonyme a dit...

oui, je retourne dans l'ombre.

Anonyme a dit...

ah oui et j'oubliais :

moi j'ai pensé que zop c'était toi :

qui se ressemble s'assemble!
;-)


(pouffe)

Anonyme a dit...

Ciel ! j'ai un flashback de ma troisième année du primaire !

Anonyme a dit...

non c'est positif, ça me permet de ne rien écrire (je n'ai pas tellement envie de le faire) et de garder le site comme "actif" (si ça dérange réellement quelqu'un...).