lundi 2 avril 2007

Stand Clear of the Closing Doors

Leurs yeux suintants de bonheur s’observent entre eux
respirant et jouissants haletants de plaisir et récitants
leurs borborygmes liquides et poisseux au visage des
aspirants ils pataugent dans leur merde qu’ils adorent
tant adorer et épistémologiquement chérir pendant
qu’en dessous de la table les barbares se comparent
et viennent toujours le plus loin puisqu’ils ont avec
eux le droit sur l’univers et leur merde qui l’ensemence
puis qui me fait vivre parce que ça on me le dit souvent
et ils continuent à liquéfier leurs pensées en calculs
pour les faire jouir encore et qu’ils s’empiffrent
en parlant de tous les orifices peu importe si
ça sent mauvais ils ont confiance en ce monde leur
monde qu’ils ont créés avec leurs
merdes quantifiables.

2 commentaires:

Ion a dit...

eh bien merde

Ian a dit...

Ouais c'est vrai que c'est un peu n'importe quoi ;)